Un bleuet loin du fjord

Monday, March 31, 2008

Correction...

(English below)

Il semblerait que le poste offert ne soit pas à l'université innommable mais à une autre d'un nom semblable, qui en a jusque dans le Q de problèmes financiers... Le poste n'est pas dans mon domaine de toute façon.

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It appears that the position is not at the unnamable university, but in another one with a similar name, which happens to be in financial troubles since they tried to make a bus station that's not connected to the metro line. Not surprisingly, the position is not in my field either.

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You damn!

(English below)

Il fut une époque où le site web de mon alma mater était de la pure marde. Ce n'est plus entièrement le cas aujourd'hui. Mais le site du département a toujours été bien fait et est éminemment navigable. Lorsque le département cherche un nouveau prof, c'est clairement affiché. Ce n'est pas le cas pour une autre université que je ne nommerai pas mais que ma blonde appelle avec "affection" par le titre de ce billet.

Mon cher paternel m'a fait remarqué qu'il y avait une annonce dans Le Devoir au sujet d'un poste à cette université, mais qu'il ne le trouvait pas sur le site internet. Je viens d'y fouiller à mon tour, et je n'ai pas trouvé d'affiche de poste non plus. Mais j'ai appris quelque chose que je ne savais pas. J'y reviens après la longue mise-en-scène qui suit.

Avant de finir mon doc et de me chercher un postdoc, j'avais présenté ma candidature à un poste de prof dans cette institution dont je tais le nom. À la dernière minute, parce que le poste était affiché à la dernière minute, une tactique standard lorsqu'un département cherche à embaucher une personne en particulier, avant même d'enclencher le processus d'offre d'emploi. Évidemment, deux mois plus tard, je recevais l'habituelle lettre de rejet: désolé mais on avait tout plein d'excellents candidats, bla bla bla... Le vrai message est plutôt: on se crisse de votre CV, sacrez-nous patience et, surtout, ne nous contactez plus. Or, je m'attendais à ce résultat parce que j'avais eu vent de l'identité du candidat que le département voulait (j'avais rempli les papiers et tout surtout pour avoir quelque chose de prêt et de facilement modifiable quand viendrait le temps de chercher une vraie job).

Or, en visitant le site du département aujourd'hui, j'apprends que le bonhomme (qui est loin d'être un deux de pique dans le domaine) a déjà quitté le poste, moins d'un an et demi après être arrivé, possiblement pour retourner à l'institution (au combien supérieure à l'institution dont je tais le nom qui, d'un point de vue relatif, ou litéral, est pas mal plus bite, si j'ose dire) qui l'employait auparavant.

À la fois, cette nouvelle me surprend et ne me surprend pas. Elle me surprend parce que le poste menait à la permanence, donc ce n'était pas un poste temporaire. Mais cela ne me surprend pas parce que c'est la énième personne (prof ou étudiant) que je vois quitter cette université plus tôt que prévu, ou avec plusieurs plaintes au sujet de l'endroit, du personnel et de son administration. Je me demande si l'architecture du pavillon principal n'est pas une façon de compenser pour de multiples problèmes institutionnels.

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There used to be a time when my alma mater's webpage sucked badly. It's less true now. But the department webpage, through its many incarnations, has always been very browsable. When there's an open position, it'll be posted and easily accessible on the webpage. This is not the case at another university which I will not name, but I will say that my girlfriend "affectionately" calls it by the title of this blog post.

So last weekend, my father told me he had seen an ad in Le Devoir for a position in the appropriate department of that institution, but he could not confirm the info on the web. I just try to find such an open position on the university and department website, and couldn't find anything either. But I did learn something, which I will get back to after this lengthy setup.

Back when I was finishing my PhD, before looking for a postdoc, I had applied for a tenure-track position at this unnamed university. I applied at the last minute because the position was advertised at the last minute, which is a standard tactic when the department is looking for someone in particular, before even opening a position. Needless to say, two months later, I received the formulaic rejection letter: sorry, but we had many excellent applications, bla bla bla... What it really means: we don't give a fuck about your CV, go away and don't try to contact us again or we'll be very annoyed. But I expected this reply as I already knew who they were looking for back when I filled out the application (just to have all those forms ready to be tweaked for real job applications later).

So, while I couldn't find anything about an open position on the website today, I did find that the guy (who's already a big name in the field) they were looking for and hired back then has already left, all in less than a year and a half. It appears he has gone back to his previous place of employment, a much better university (ask Felix or Gander) than the one I won't name.

I'm not sure what happened, but this doesn't really surprise me. It surprises me a little because it was a tenure-track position, not some temporary thing. But this is the n-th person (both profs and students) I see leave this unnamed institution before they were supposed to (if at all), and practically everyone I've seen go there had a number of non-trivial complaints about the place, its administration and its personnel. Is it possible that the architecture of the main building is actually made to compensate for deep-rooted institutional problems?

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Monday, March 24, 2008

Lundi de... QUOI???

(English below)

Pendant que le reste du monde profite d'une journée de congé, à l'université de Waterloo (anticléricale fanatique?) c'est business as usual, et le congé de Pâques inclut seulement le Vendredi saint et le samedi avant Pâques. Quelle triche! C'est la fin de semaine, donc ça compte pas. Maudite bande d'hérétiques. Anyway...

Pour la visite de notre invitée, on s'était loué un Nintendo Wii histoire de jouer à Super Smash Bros Brawl et à la boxe avec les manettes style nunchaku (un fléau japonais). Le jeu de boxe tient plus de l'exercice physique que du jeu vidéo, mais en fait, c'est plutôt mal chié et pas vraiment le fun. Heureusement que le reste des jeux était mieux et moins éreintant. La fin de semaine a passé vite (trois jours seulement...) et on n'a pas eu le temps de faire toute la popote qu'on voulait faire (avec rien de moins que un kilo de fromage en grain Boivin, va falloir se faire de la poutine maison en masse).

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While everybody has this Monday off, including the CBC evening news, the Easter holiday at the University of Waterloo only consists of Good Friday and Saturday before Easter Sunday. It's a weekend day already, that doesn't count! So I had to go to work today (and spend it half asleep at my desk). A bloody bunch of heretics I tell you. Anyway...

Because we had a guest over, we rented a Wii for two days (not a trivial feat), to try the boxing game with the nunchaku-like Wiimote. Turns out that game is actually pretty sucky and not the best thing to get used to the Wii controls. It's a good thing Super Smash Bros Brawl was a much better game (with a more conventional approach to fighting moves control). The weekend passed quickly (only 3 days, as mentioned before...) and we didn't quite get the time to do all the cooking we wanted to do (it's harder when all the grocery stores are closed). Since we still have most of the kilo of Boivin cheese curds our guest brought, we'll have to make a lot of poutine very soon.

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Friday, March 21, 2008

Nourriture pour l'esprit?

(English below)

On est Vendredi Saint et par conséquent presque tout est fermé à Waterloo. Sauf pour les petites quilles (c'est relativement le fun) et les restaurants asiatiques (japonais-coréen ou chinois). Les supermarchés, même ceux ouverts normalement 24 heures par jour, sont fermés aussi. Mais la librairie Chapters est ouverte. Alors, si vous voulez faire une gâteau (oui, c'est sacrilège aujourd'hui, mais je suis le seul catho de la gang), vous pouvez acheter un livre de recette, mais pas les ingrédients qu'il vous faut... Heureusement que l'épicerie Farah Foods (en fait, c'est plus un dépanneur ambitieux et crosseur qu'une épicerie) est ouverte pareil. Vive les proprios chinois.

Ah oui, Raintree Cafe, notre resto pas coréen préféré du coin, est fermé jusqu'à lundi, et notre hôte doit partir ce matin-là. Câlice.

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Food for thought

Today is Good Friday (silly non-catholic anglos), so almost everything is closed in Waterloo, except for the 5-pin bowling alley (almost deserted, it's as fun as regular bowling) and asian restaurants. Grocery stores are closed, even those that are normally open 24/7. But for some reason Chapters is open. So if you want to make a cake for someone's birthday, you can buy a recipe book, but you won't be able to buy the missing ingredients... Thankfully, Farah Foods, that glorified dépanneur is open as always, thanks to its asian management.

But Raintree Cafe, our favorite non-korean restaurant in town, is closed until Monday. Our guest has to leave on Monday. Insert some sort of English blaspheme here.

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Thursday, March 20, 2008

De la visite...

(English below)

On reçoit dès ce soir une invitée pour la fin de semaine de Pâques. En plus, c'est sa fête demain, alors va falloir faire une entorse au maigre jeûne du Vendredi Saint. C'est la sixième personne à venir jusqu'à Waterloo depuis que ma blonde est ici (sans compter Derrick, qui était ici pour un congrès de prestidigitateurs).

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We're having a guest for the Easter four day weekend. It also happens to be her birthday tomorrow so the usual Good Friday catholic fasting rules will have to be broken (by me, I guess I'm the only catholic around, not that I actually did anything for Lent). It's the sixth person to dare to come all the way to Waterloo since my girlfriend moved in. To all others who want to visit us here, the clock is ticking...

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Sunday, March 16, 2008

Tarte au steak haché...

(English below)

J'oubliais... Dans deux des fromageries visitées (de la même chaîne), ils vendaient aussi plusieurs pâtés comme des pâtés au poulet. Ils vendaient aussi des "tourtières", comme d'habitude, on parle de fausse-présentation. C'est de la tarte au steak haché (de porc)... à 14,99$ l'unité, congelée et pas cuite en plus. Donc c'est de la pure escroquerie, en plus d'être une insulte à la vraie tourtière.

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I forgot to mention, two of the cheese shops we visited (actually from the same chain), sold various pies, like chicken pot pie, in uncooked, frozen form. They also had "tourtière", which, as usual is false advertizing, because it's really crummy (pork) hamburger pie... at $14.99 per shallow aluminum plate. That's a complete ripoff on top of being an insult to real tourtière.

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Autre fin de semaine à Toronto

English below

C'est la veille de la Saint-Pâtrick (si vous prononcez le nom un peu comme on prononce "Sainte-Anne" par che nous), et faute de Guinness, je risque de boire du cidre de la Colombie-Britannique fait de Granny Smith (la plus omniprésente et probablement la plus insipide des pommes vertes, d'où le lien avec la célébration du sang pas bleu mais un peu vert, tout en étant pas vulcain du tout, du sous-ensemble de mes ancêtres qui vient du même pays que Pierce Brosnan, mettons).

Pour en revenir à la veille de la journée de pi, ma blonde et moi sommes partis de Waterloo avec un Letton (pas un laiton). L'ami (connu via notre future invitée de Pâques) allait chez sa blonde, on lui a sauvé un billet d'autobus (Greyhound, ça l'air que ça vaut pas Orléans Express ou Intercar). On devait le conduire à la station de métro Castle Frank, mais il se trouve qu'il n'y a pas la moindre place pour s'arrêter à cette station (maudit beau planning urbain), faqu'on l'a amené directement à l'appart de sa bien-aimée.

Vendredi, j'allais faire une présentation dans une des trois universités torontoises (pas Ryerson, et pas l'université de Toronto non plus). Le département est petit mes les gens sont très sympathiques. Je dois dire que toutes les remarques préalablement entendues à propos du coin étaient complètement vraies. Juste pour le trip (littéralement), on s'est servi de notre GPS pour revenir chez les cousins de ma blonde en évitant les autoroutes. C'est pas plus vite d'essayer de ne pas être pogné dans le trafic (en fait, c'est pas mal plus long, même si c'est en ligne droite, plus virage perpendiculaire). Mais c'est relativement intéressant de voir Toronto de l'intérieur (et de l'intérieur de l'auto) une fois dans sa vie. On a passé la soirée à tenter d'éradiquer les virus et logiciels espions et autres logiciels malicieux (ou malveillant) de l'ordinateur de nos hôtes, avant de passer s'acheter une tarte (aux bleuets) pour ne pas passer à côté de la journée de pi.

Ce n'est que samedi qu'on a finalement remis l'ordinateur à neuf (je blâme le frangin de ma blonde pour l'infection initiale, maudits virus récents difficiles à faire disparaître, j'ai dû zigonner manuellement dans le register). Ensuite on est allé faire un tour dans divers quartiers plus commerçant de Toronto (en commençant pas le quartier grec, manger un vrai gyros chez Alexandros pour nous faire oublier l'abomination sans tzatziki mangée au St-Jacobs Outlet et le très inférieur et graisseux gyros servi sans sourire chez Astra-Deli, au coin Sherbrooke et Girouard à Montréal). On a cherché des fromageries pour trouver du gruyère Premier Cru que ma blonde adore tant, mais il semble qu'on peu juste en trouver chez Mickey McGuire's Cheese. On a aussi fait quelques achats judicieux dans le très kitsch Honest Ed's (dont le slogan devrait peut-être changer de "Wasn't it fun?" à "Isn't he dead?", vu que ça rime et que le proprio est mort il y a plusieurs mois, mais ça d'l'air que pas tout le monde partage mon humour noir). Après un souper pantagruelique, pour digérer on s'est tapé un DVD "facile" à écouter, soit Bon Cop, Bad Cop, un navet incommensurable.

Finalement, aujourd'hui, malgré avoir promis de ne plus manger d'ici Pâques et de ne jamais remettre les pieds au Pacific Mall, on s'est rendu ma blonde et moi au Pacific Mall et au Market Village, voir une amie de ma blonde qu'elle n'avait pas vue depuis dix ans (genre). On a mangé du BBQ coréen à volonté (dans le restaurant Seoul Garden, surprenamment désert, les chinois sont peut-être chauvins en matière de bouffe) pendant deux heures et demi (mais avec beaucoup de conversation), et ensuite on a affronté la sempiternelle congestion de la 401 pour revenir au bercail. On a toujours pas de gruyère...

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Well, it's the eve of Saint-Patrick's Day, and since I don't feel lik going to the soviet Beer Store for Guinness, it appears I'll have to drink cider from BC made with Granny Smith (the best known and probably least flavourful of all green apples) to celebrate the subset of my ancestors that came from the same country as Colm Wilkinson, say.

And now for the usual retrospect of my daily life, for those who want to know. On the eve of Pi Day, we left Waterloo and drove ourselves (along with a Latvian) to Toronto. On Friday, I went to one of Toronto's three universities (neither Ryerson, nor the University of Toronto), and had a nice time (everything I was told about the place is true). On the way back, we took the "scenic route" by avoiding highways. It took an extra half-hour at least, but I guess one has to see Toronto from the inside (of the city and of a car) at least once. We spent the rest of Pi Day trying to fix our host's computer (which had been infected by viruses and spywares, I blame a certain violinist from a shitty indie band), but we bought a pie (of the blueberry kind, try to find an apple pie with no cinnamon or a sugar pie in Ontario) to make sure to celebrate Pi Day properly.

On Saturday, after finally fixing the computer, we went around Toronto (as usual), first visiting Greektown and eating delicious gyros at Alexandros (they were way better than the pork deficient, surly served ones of Astra-Deli and the best way to forget the tzatziki-less abominations we once bought at St-Jacobs Outlet mall). As usual, we checked out a few cheese shops to try to find Premier Cru gruyère, but it was in vain. Oh yeah, we stopped by Honest Ed's again (bought a cheese-cutting thing, labeled a fruit cutter somehow, even though we didn't have any cheese). We made it back to the Woodbine area and had a pantagruelic supper, and digested while watching a shitty DVD, namely the terrible Bon Cop, Bad Cop (that's not the way to make an action-comedy).

Finally, today, despite having vowed never to set foot in Pacific Mall or eat again until Easter, we went to Pacific Mall and drove around the parking a while, as my better half was meeting an old (not physically) friend of hers (from French camp) that she hadn't seen in at least ten years. We had a long meal (and conversation) at the surprisingly empty Korean BBQ (all you can eat!) Seoul Garden (lots of Koreon places are called Seoul something, or something Seoul; I'll bet you there's a Japanese-Korean restaurant called Sakura Seoul). It was delicious (Korean food is better than Chinese or Japanese food, in fact, it's better than food from anywhere else in Asia...). Then, after a few more food purchases (the tea supply was getting low, but we couldn't find Gen Mai tea), we braved the 401 traffic and headed home. We are still out of gruyère...

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Thursday, March 13, 2008

La journée de pi

(English below)

Ce vendredi 14 mars, c'est la journée de pi, parce que 14 mars en Anglais c'est March 14, ou 3.14, en chiffres. C'est le début de l'expansion décimale du ratio de la circonférence d'un cercle divisé par son diamètre. Pour les Japonais, c'est aussi le White Day (soit jour blanc, in English, les Japonais n'ayant semblablement aucun vocabulaire dans leur propre langue), où l'homme donne à sa douce moitié le triple du chocolat reçu d'elle à la Saint-Valentin. C'est également la fête d'Albert Einstein. Anyway, pour célébrer, je m'en vais faire une présentation dans l'une des trois universités torontoises (un indice: ce n'est pas Ryerson, je vous laisse deux chances). Devinez pour quel département.

Autre bonne nouvelle. On va avoir de la belle visite pour le congé de Pâques (dès jeudi soir prochain).
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This Friday is Pi Day (technically, pi Day, as the greek symbol is in its lower case form, the upper case denotes a product), a geeky day for all nerds to celebrate the ratio of the circumference of a circle by its diameter. For the Japanese, it's also White Day, a day for men to give back to their better half triple the worth of the chocolate they received on Valentine's Day (I assume the lonely hikikomoris just buy themselves three times their normal amount of tentacle-rape hentai). March 14 also happens to be Albert Einstein's birthday. Anyway, to celebrate this nerdy holiday, I will be giving a talk in one of Toronto's three universities (it's not Ryerson, but I'll give you two guesses). Guess in which department!

And, for another bit of good news, we'll have a guest over for the Easter extra long weekend. Though I'm guessing we won't be watching Jesus of Nazareth.

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Monday, March 10, 2008

De monts en merveilles

(English below)

Parce que mon frère discute sur son blogue de contes et d'histoires folkloriques, ça m'a rappelé un livre emprunté à la bibliothèque de l'école Félix-Antoine-Savard ("à Félix" pour les intimes, mais c'était avant la mort de Félix Leclerc, il y a vingt ans bientôt, le 8-8-88), en deuxième année.

Le livre s'appelait De monts en merveilles et comportait quatre contes moldaves. J'ai lu les deux premiers, mais le seul dont je me rappelle le titre, c'est le dernier, "L'empereur vert". Bref, je l'avait renouvelé deux ou trois fois pendant les périodes hebdomadaires de biblio. Mais à l'époque j'étais bollé, et on m'envoyait une fois de temps en temps avec quelques autres stious dans un groupe à part faisant des projets individuels spéciaux. Or, un de ces quatres, ça m'a fait manquer une période de biblio, et l'institutrice (maudit que j'ai un beau vocabulaire) avait donné l'ordre à un autre élève de la classe de retourner le livre et m'en emprunter un nouveau. Je l'ai cherché en vain depuis, un petit vlimeux l'a probablement piqué ensuite et ne l'a jamais retourné.

Toujours est-il que la toute puissance de Google m'a permis de retrouver quelques informations sur le livre. C'est un peu une quête du Graal personnelle, mais si je me trouvais en France métropolitaine, je pourrais l'acheter sur eBay.

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I'm feeling lazy today. And Grail just doesn't sound as cool as Graal. Besides, the book ain't available in English. So no real English version of this post today. But I'll say this: I used to be smart in second grade.

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Sunday, March 09, 2008

Mickey McGuire's Cheese

(English below)

Une des bonnes choses à Waterloo (oui, j'ai bien écrit ça), c'est qu'au marché de St-Jacobs, côté du samedi-dimanche, il y a Mickey McGuire's Cheese où l'on vend des fromages dignes de ce nom, incluant le Riopelle (de L'Isle, aux grues, bien sûr). C'est mieux que les fromageries de Kensington à Toronto: meilleur choix en général (pas de Perron cependant), et pas de file énorme, avec un excellent service, le samedi...

Le dimanche, c'est une p'tite jeune qui connaît pas les fromages qui s'occupe du comptoir. Aujourd'hui, on a eu de l'emmental Premier Cru au lieu du gruyère... J'pense que la prochaine fois, si on veut du fromage un dimanche, on fera du char jusqu'au vrai magasin à Dundas, même si c'est dangeureusement près de ce trou qu'on appelle Hamilton, où j'espère ne plus jamais mettre les pieds.

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I've said it before I'm sure, but one of the good things in Waterloo is that Mickey McGuire's Cheeses has a counter at the Saturday & Sunday market in St-Jacobs. It's one of the two and a half places that sell cheese here (the other one is Vincenzo's and the half is Monforte, which only sell its own sheep cheeses, but they're delicious). It's better than the cheese shops in Kensington in Toronto, as the selection is generally better (no Perron cheddar though, I think, maybe I should ask), there's no giant lineup, and the service is excellent... on Saturday.

On Sunday, it's a different thing, as some younger lady who doesn't know the cheeses takes care of the St-Jacobs market counter. Today, we got Premier Cru emmental instead of the gruyère, despite voicing our suspicions as to the hard to read label (it was an end piece with few but still noticeable holes). I guess next time we'll want cheese on a Sunday, we'll have to drive all the way to Dundas, though it's dangerously close to Hamilton, and I hope never to have to set foot there again.

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Thursday, March 06, 2008

L'orignal

(English below)

Pas de photo cette fois-ci, mais maudit que c'est bon de la viande d'orignal. Maintenant ça me prendrait juste un foyer pis une tête avec un panache empaillée.

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No photos this time (I'll spare the vegetarians), but damn is moose meat good. Now, if only I had a fireplace and the head of such a magnificient and delicious beast...

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Monday, March 03, 2008

Encore photos et pains!

Une dizaine de pains à hamburger fait maison.
Ten homemade hamburger buns


Le reste de la treizaine, sous forme de hamburger (ou "hambeggueur", comme disent certains).
The rest of the baker's dozen, in hamburger form


Maudit que c'est meilleur au goût et plus nutritif (il y a un tiers de farine de blé entier) que la stuff plein de sucre et d'artificiel qu'y vendent à l'épicerie.
Fuck, it's so much tastier and more nutritious (a third of the flour is whole wheat) than the sugar and artificial filled buns from the grocery (sometimes it feels more like grossery) store.

Et ne vous inquiétez pas, je vais limiter cette formule bilingue alternative à mes billets photographiques avec peu de texte et plus de photos.
Are you tired of this alternating bilinguism? I'll keep it for short posts with lots of pictures. Sort of.

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Saturday, March 01, 2008

De la pizza avecque rien d'dans.

Grâce à notre machine à pain, on peut faire de la pâte à pizza. Voici le résultat.
Thanks to our bread machine, we can make pizza dough easily. Here is the result.

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Quelques photos

Qualité cellulaire! Cellphone quality!

De la sauce à spaghat, qqch qu'on a pas fait depuis des lunes.
Spaghetti sauce, something we haven't made in ages.


De l'emballage excessif. Merci Sobeys pour sauver l'environnment!
Excessive packaging. Thank you Sobeys for caring about the environment!


C'est pas demain la veille que notre machine à pain fera compétition avec Le Fromentier.
The bread machine isn't going to catch up to Le Fromentier any time soon.


Une mouche au mois de février. Malgré le manque de perspective, elle est bien dehors.
A fly in February. Despite the lack of perspective, it is actually outside.

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